Un musée Bertrand du Guesclin en Bretagne
Bertrand du Guesclin aide à comprendre le 14ème siècle, la guerre de Succession de Bretagne, la 1ère partie de la guerre de Cent Ans, les relations entre les Plantagenêts et les Valois, l’évolution des métiers de la guerre...
Plusieurs villes peuvent prétendre à créer ce Musée : Broons, Lamballe, Dinan, Auray, Guingamp, Brest, Guérande, Rennes, Grand-Fougeray, Nantes, Malestroit, Les Iffs, Montmuran, Pontorson, le Mont-Saint-Michel, Laval, dans l’abbaye de Clermont où le cœur de Jeanne de Laval repose.
Le contexte actuel est favorable
Les Fêtes médiévales fleurissent et ont un grand succès, Dinan, Hennebont, Josselin, Grand-Fougeray, Provins...300.000 visiteurs par an à Guédelon, Yonne.
A Malestroit, Morbihan, le 19 janvier 1343, en l’église de la Madeleine, une trêve est signée entre le roi d’Angleterre, Edouard III, et le roi de France, Philippe VI de Valois.
Les associations équestres « médiévales » sont de plus en plus nombreuses.
Les visiteurs sont comblés et enthousiastes.
Les jeunes ne connaissent pas Bertrand du Guesclin.
Les relations Bretagne-France de Bertrand du Guesclin sont à expliquer.
Les thèmes à évoquer sont illimités
La fin des Croisades.
Philippe le Bel et les « rois maudits ».
La fin de l’ordre des Templiers.
L’expulsion des Juifs.
La fin des Capétiens et l’arrivée des Valois.
Les Papes à Avignon.
Les prétendants à la couronne de France, Edouard III, Charles de Navarre.
Le duché de Bretagne, ses origines, l’hommage.
La succession du duc Jean III, Jeanne de Penthièvre-Blois, Jean de Montfort.
La guerre de Succession de Bretagne, les partis concernés, les batailles, les hommes.
Le Combat des Trente.
Olivier de Clisson, les De Rohan.
La canonisation de Charles de Blois.
Les armées, les chevauchées, les batailles, les traités, les rançons, les otages, les armures, les chevaux, les tournois, l’adoubement, le chevalier, les blasons, les armes de guerre, les sièges.
L’arrivée du canon, incidence sur la guerre et la construction.
L’architecture des châteaux, terre, pierre, donjon, douve.
Les hommes de guerre, la féodalité, le suzerain, le vassal.
Les campagnes, les paysans, l’habitat, la nourriture, les métiers, l’élevage.
Les villes, les remparts, les constructions, les métiers, forgerons, potiers, fileuses.
Les taxes, dîmes et autres impôts.
La justice, haute et basse, les piloris.
L’église, les paroisses, son influence dans la guerre, les taxes.
La Peste noire.
L’« utilisation » de Bertrand du Guesclin après sa mort.
Les animateurs existent
Un comité de création, réflexion, animation, avec des spécialistes de cette période, il sont nombreux.
Une bibliothèque spécialisée.
La projection de films.
Des conférences. Avec des écrivains spécialisés.
Des débats.
Un marché médiéval annuel, des produits, des artisans.
Une thématique annuelle riche
Ploërmel, le combat des Trente.
Dinan. Le tournois avec Thomas de Cantorbéry.
Mauron, la bataille.
La Roche-Derrien, une défaite de Charles de Blois.
Josselin, Olivier de Clisson.
Auray, la victoire de Jean de Montfort, 1364.
Rennes, les remparts.
Guérande, les traités de 1365 et 1381.
Grand-Fougeray, la prise du château. 1
Pontorson...dans la Manche...étape importante de sa carrière.
La synergie avec d’autres villes est profitable
L’association de ces villes à l’animation du Musée augmente sa présence sur le territoire breton, voire plus large, Clisson, Jerzey, l’Angleterre, l’Espagne.
La liste des villes où Bertrand du Guesclin est passé est longue et offre des possibilités intéressantes de « jumelages », Châteauneuf-de-Randon 2, Caen, Rouen, Paris.
La création d’un circuit des villes médiévales est envisageable, ainsi qu’un circuit Bertrand du Guesclin à travers toute la Bretagne, la France, voire l’Espagne.
Une implantation et un cadre bien choisis
Dans un parc, une zone boisée, avec suffisamment de surface pour pratiquer des animations en extérieur.
Un bâtiment-musée construit, ou mieux, un ancien manoir, un site du 14ème siècle.
Par exemple